Un discours vibrant pour dire son amour de l’Amérique, le grand allié. Theresa May la Première ministre britannique s’est exprimée devant les républicains américains réunis en séminaire à Philadelphie, à la veille d’une rencontre avec Donald Trump. Selon elle, Washington et Londres doivent poursuivre, même renforcer leur leadership :
“C’est un honneur et un privilège pour moi de me présenter devant vous aujourd’hui, dans cette grande ville de Philadelphie, pour proclamer à nouveau que nous voulons renouveler notre relation spéciale et nous engager à nouveau pour mener le monde moderne et c’est un honneur et un privilège pour moi de le faire au moment où le jour se lève sur une nouvelle ère de renouveau américain.”
Malgré ce que disent #May et #Trump, le lien entre GB et USA complète celui avec l'#Europe et ne peut le remplacer https://t.co/I10GuZKT5t— Loïc Laroche (@lclaroche) 26 janvier 2017
“Quand on parle de la Russie, il est sage comme souvent de prendre exemple sur le président Reagan qui, dans ses négociations avec son homologue russe d’alors Mikhaïl Gorbatchev, avait l’habitude de suivre cet adage faites confiance, mais vérifiez. Avec le président Poutine, mon conseil c’est coopérez, mais prenez garde“.
Theresa May a souligné l’importance des institutions internationales, Onu, FMI, banque centrale et l’Otan, critiqué par Donald Trump. Mais le visage du Brexit a aussi défendu la souveraineté des Etats.
“L’institution la plus importante est et devrait toujours être l‘État-nation. Des nations fortes accouchent d’institutions solides et crèent la base de la coopération et des partenariats internationaux qui apportent la stabilité à notre monde.”
Theresa May est le premier dirigeant étranger à rendre visite au nouveau président. Ce vendredi ils parleront commerce entre leurs deux pays.
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