Pour la première fois, la présidente du Front national a admis que l'action d'Aymeric Chauprade avait engagé «au moins dans l'image» le parti d'extrême droite. Invitée mercredi sur LCP, Marine Le Pen a désapprouvé l'initiative de l'eurodéputé, impliqué dans l'évasion des deux pilotes français retenus en République Dominicaine dans le cadre de l'affaire Air cocaïne. «Le Front national n'est pas une secte, donc on ne gère ni les nuits, ni les week-ends, ni les vacances, ni le temps privé des élus qui sont Front national» a expliqué la cheffe du parti d'extrême droite.
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