Si Manuel Valls a démenti les informations de nos confrères du Parisien et dit ne pas soutenir Emmanuel Macron dans le cadre de sa campagne présidentielle, le manque d'implication de l'ancien Premier ministre auprès de Benoît Hamon, vainqueur de la primaire socialiste, reste un sujet de tensions à gauche. «Je comprends qu'il reste dans une forme de discrétion ou de silence», a admis Aurélie Filippetti, porte-parole du vainqueur de la primaire socialiste, tandis que l'écologiste François de Rugy a dit croire «que c'est en effet Emmanuel Macron qui est le plus proche de ses idées».
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