Histoire du Goncourt avec de nombreuses images d'archives et des interviews des membres du jury, Armand LANOUX, Hervé BAZIN, des anciens Goncourt, Paul COLIN et Jean-LOUIS BORY et du sommelier de chez Drouant, là où habituellement se réunit le jury du prix.Actualités Pathé journal 1933 : au micro un membre du gouvernement annonce André MALRAUX, lauréat puis courte déclaration de ce dernier sur son livre "La condition humaine" Interview de Monsieur DESMARS, libraire : "Le Goncourt est une chose qui marque ... l'idée des Goncourt à été excellente. " Archives 1971 : annonce du prix à Jacques LAURENT dans une salle houleuse et des cris "halte aux escrocs de la littérature. "Interview Armand LANOUX, juré : Ce prix sera donné aux meilleurs romans, aux meilleurs volumes d'imagination ... revenons au testament asservi à chaque secrétaire, une rente annuelle et naguère de 6000 francs ... s'ils pouvaient mettre à l'abri des travaux subalternes, les dix écrivains qu'il considérait comme les meilleurs écrivains de son époque ... merveilleuse idée publicitaire du prix Goncourt ...après 1945 probabilité de vente d'un prix Goncourt est d'environ entre 100 et 750 000 exemplaires - schéma explicatif du rapport des exemplaires ... on comprend Pierre MAC ORLAN qui disait : "Bien sur, ce garçon a du talent mais je ne suis pas sur que ça va être un écrivain je ne veux pas donner 50 millions d'AF à un garçon qui va se dépêcher d'acheter un prêt à porter" .Interview de Jean-Louis BORY, Goncourt 1945 : "Si c'est un premier livre on est beaucoup plus fragile et ensuite l'oeuvre n'en profite pas".Archives Paul COLIN, Goncourt 1950, signe son livre "Les yeux sauvages".Interview de Paul COLIN dans ses champs : "J'ai acheté une propriété cela m'a permis de vivre absolument à l'écart de cette société moderne qui ne me convient pas du tout" Repas du jury dans le salon du Goncourt chez Drouant : Françoise MALLET JORIS, Hervé BAZIN, Robert SABATIER, Bernard CLAVEL, Armand LANOUX - Michel TOURNIER.Interview du sommelier de chez DROUANT dans la cave : " ils boivent un bon Bordeaux, un Saint Emilion 1964 et puis ils finissent par le blanc de blanc des Goucourt ".Interview d'Armand SALACROU : "Quand j'étais gosse je me disais je m'en fou quand je serais foutu je fumerais je boirais mais maintenant je ne fume plus et je ne bois plus car cela me fait du mal ...".Interview Hervé BAZIN : "l'académie Goncourt, elle n'était pas uniquement destiné à donner un prix ...elle voudrait reprendre un rôle d'académie ..." .
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