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Luz : "Etre Charlie c’est être obscurantophobe"

par franceinter

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Le dessinateur de Charlie Hebdo est l'invité de Lea Salamé Plus d'informations sur www.franceinter.fr

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Benoît Hamon répond aux questions de Léa Salamé
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Frédéric Mitterrand : "La Francophonie, Ce n’est pas la France, ce sont d’autres pays qui se parlent dans notre langue.
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Robin Campillo : "A l'époque c'était une lutte de malades."
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Riss est l'invité de Léa Salamé
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Richard Malka, avocat de Charlie Hebdo : "Mme Obono avait les yeux secs devant les morts de Charlie. Et M. Mélenchon, qui n'avait pas assez de trémolos dans la voix aux obsèques de Charb, est à la fois Obono et Charb. Je ne sais pas comment il fait."
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Richard Malka, avocat de Charlie Hebdo : "Il y a une sorte de soulagement que ce procès s'ouvre enfin. Je ne sais pas très bien encore sur quel banc j'aurai envie de m'asseoir, celui de mes confrères ou celui de mes amis."
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Richard Malka, avocat de Charlie Hebdo : "Ce sera le procès de la banalité du terrorisme. Il n'y a pas de terrorisme sans complicités intellectuelles, et puis il faut un terreau, des petits rouages. Les terroristes ne sont jamais seuls.""
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Richard Malka, avocat de Charlie Hebdo : "J'espère que les Français sont encore Charlie, je le crois, mais il y a un malaise, dans une certaine élite universitaire, parfois médiatique, parfois politique."
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Richard Malka, avocat de Charlie Hebdo : "Provisoirement, l'état d'esprit des terroristes a gagné. Dans tous les champs de la liberté d'expression, il y a une régression. La censure a muté, elle ne vient plus de l'État, elle vient de nous-mêmes."
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Richard Malka, avocat de Charlie Hebdo : "Bizarrement, l'appétit de censure a migré de la droite à la gauche, sous le principe de "il ne faut offenser personne". Mais s'il ne faut offenser personne, il faut vivre dans des grottes."
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Adrien Quatennens : "On a la preuve par les faits que ces politiques ne fonctionnent pas"
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Julien Doré au micro de Léa Salamé

Peine maximale de 20 ans requise contre Dominique Pelicot

25 novembre 2024 - leparisien

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