Les négociations sur le nucléaire iranien reprennent à Vienne après 5 mois de pause.
Alors que les discussions de juin
s'étaient conclues sur une note positive.
l'arrivée au pouvoir du président
conservateur, Ebrahim Raïssi, semble
obscurcir les relations internationales.
S'ils traînent des pieds tout en accélérant le rythme avec leur programme nucléaire, alors, bien entendu, nous ne serions pas prêts à rester les bras croisés, Rob Malley, émissaire américain.
Les inspecteurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) affirment manquer de certaines réponses pour assurer la volonté pacifique de ce programme nucléaire.
Le refus de l'Iran de trouver un compromis avec l'AIEA jette une ombre sur les pourparlers à venir, Henry Rome, spécialiste de l'Iran chez Eurasia Group.
Un pacte avait était signé en 2015 pour lever les mesures économiques prises contre l'Iran en échange d'une réduction de son programme nucléaire.
En 2018, Donald Trump avait décidé
de sortir les États-Unis de l'accord.
Si l'ancien président américain Donald Trump est à l'origine de la crise, les actions iraniennes la prolongent. Ils agissent comme si Washington allait flancher en premier, mais cette pression est une arme à double tranchant, Kelsey Davenport, experte de l'Arms Control Association.
Les discussions autour du programme nucléaire iranien commenceront ce lundi
29 novembre, à 14h à Vienne
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