A Caen d'où est parti le mouvement de contestation des éleveurs, Jean-Yves Heurtin, président de la FDSEA a expliqué, mercredi après-midi, le choix d'arrêter les barrages. "On peut rester deux jours de plus mais dans deux jours on n'aura pas un mot de plus du ministre. Quand on est sorti par l'affrontement et qu'on s'est fait déloger ça a toujours été toujours beaucoup plus difficile de rebondir derrière", a-t-il expliqué.
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