Ce dimanche, le G20 en Turquie bat son plein. Et malgré l’absence de François Hollande, représenté à Antalya par son ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, des principaux dirigeants de la planète ont le regard tourné vers Paris.
Un peu moins de 48 heures après les attaques sanglantes qui ont frappé la capitale, faisant selon un bilan provisoire 129 morts et 352 blessés, et un peu plus d’un mois après l’attentat d’Ankara, qui a provoqué 102 morts, et la question du terrorisme éclipse tous les autres sujets inscrits à l’agenda du sommet. Au risque de faire éclater les divergences entre les différents chefs d’État.
Car la condamnation unanime des attentats à Paris ne suffira pas à esquisser une réponse coordonnée à la menace de l’État islamique. Chacun y allant de sa solution, avec ou sans Bachar el-Assad.
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