Les 10 de Renault : Pierre ARPAILLANGE/GUILLOT
par ina
L'amnistie prévoyant la réintégration des dix salariés licenciés de l'usine de Renault-Billancourt, a été rejetée par le Conseil Constitutionnel. Réaction du garde des sceaux et de la CGT. - [Panoramique] sur salle de réunion du Conseil Constitutionnel. - [Gros plan] sur badge au revers d'une veste : inscription Amnistie Réintégration sur sigle Renault. - [Panoramique] sur militants de la CGT manifestants devant la résidence privée de François MITTERRAND. [Différents plans] affiches, slogans. - Réaction du garde des sceaux Pierre ARPAILLANGE dans le studio RMC -FR3 : "Les décisions du Conseil Constitutionnel ne sont susceptibles d'aucun recours. Elles s'imposent aux pouvoirs publics et à toutes les autorités administratives et juridictionnelles. S'il n'y a aucune possibilité sur le plan judiciaire, la seule chose à trouver est une négociation à la condition que les différentes parties l'admettent". Retrouvez ce media sur Ina.fr
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