Le bureau politique de l'UMP, réuni ce mardi 3 février, a défini la consigne de vote à adopter pour le second tour de la législative partielle dans le Doubs, où le Front national affrontera le Parti socialiste. C'est la stratégie "ni-ni", apparue pendant les cantonales de 2011, qui s'est imposée. Nicolas Sarkozy n'a pas pris part au vote. Nathalie Kosciusko-Morizet, la numéro deux du parti, souhaitait quant à elle faire barrage au FN.
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