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Luxembourg 5 min. maladie virale Monkeypox reste dangereux, prévient l'OMS - Monkeypox a atterri en mai 2022, en pleine pandémie de coronavirus. Une mauvaise nouvelle qui a semé la peur dans le monde entier. Une nouvelle menace, alors que le monde luttait encore contre le dévastateur coronavirus ? L'Organisation mondiale de la santé à Genève a déclenché un état d'alerte élevé en déclarant l'état d'urgence sanitaire internationale en juillet. Monkeypox : le Dr Staub fournit une mise à jour Comment puis-je me faire tester pour le monkeypox ? Qui doit être vacciné ? Est-ce qu'il y a des effets secondaires? Le Dr Thérèse Staub répond à nos questions. Entre-temps, les pires craintes ont été écartées et le nombre de cas a drastiquement diminué. L'OMS craint désormais que de nouvelles flambées soient possibles à tout moment, prévient Rosamund Lewis, spécialiste du monkeypox à l'OMS. "Nous pourrions avoir une variante du virus dans trois ans qui serait nettement moins facile à contenir - c'est un risque réel", a-t-elle déclaré à l'agence de presse allemande DPA. Jusqu'au début janvier 2023, l'OMS a enregistré près de 84 000 cas confirmés dans le monde, dont 75 décès, tout en étant certaine qu'un grand nombre d'entre eux n'ont pas été signalés. Le nombre de nouvelles infections signalées chaque semaine a diminué d'un peu plus de 90 % depuis juillet. Transmissions interhumaines relativement récentes Au Luxembourg aussi, la situation s'est déjà calmée depuis le début de l'automne dernier, après un pic l'été. Depuis l'apparition du virus, 55 cas ont été recensés au Luxembourg, les personnes concernées avaient en moyenne 37 ans, trois d'entre elles ont dû se rendre brièvement à l'hôpital. Depuis le 16 août 2022, les personnes à risque peuvent se faire vacciner. Jusqu'à présent, 681 personnes ont reçu la première dose et 415 la seconde. Monkeypox, maintenant appelé Mpox par l'OMS au lieu de Monkeypox, est une maladie virale. Les patients ont généralement de la fièvre, maux de tête et des douleurs musculaires ainsi qu'une éruption cutanée avec pustules. Jusqu'en 2022, les cas n'étaient pratiquement connus qu'en Afrique de l'Ouest et du Centre, où les personnes étaient infectées par contact avec des animaux infectés. Le virus provient probablement de petits mammifères comme les écureuils solaires ou rayés ou les rats hamsters géants. La transmission interhumaine n'est connue que depuis quelques années. En 2022, ce sont surtout les hommes qui ont des contacts sexuels fréquents avec différents partenaires qui ont été infectés. Le virus est apparenté aux virus classiques de la variole humaine et du cowpox. Détection précoce nécessaire dans le monde entier Selon elle, on sait certainement stopper de nouvelles épidémies : isolant les personnes infectées, en surveillant leurs contacts et les vaccin
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