Le retour de Robocop
par euronews-fr
Bon la terre, enfin surtout Detroit en 2028 connaît un léger problème de délinquance. La police municipale est débordée d’où le recours à une arme absolue en la personne, disons plutôt en le robot, de Robocop. Joel Kinnaman se glisse dans la carapace du flic de métal, pour cette reboot signé José Padilla plus d’un quart de siècle après l’original. Joel Kinnaman :“Si vous regardez la façon dont notre société a changé, le développement de la technologie a été exponentiel et tout d’un coup, on se retrouve dans une situation où un très grand nombre d‘éléments prévus dans le film original sont pratiquement devenu réalité. En tant que société nous allons devoir prendre une décision quant à savoir comment nous allons gérer cette nouvelle technologie et quelles conséquences elle pourra avoir”. Sachant que nous sommes déjà dans le passé du futur du passé... (par rapport au premier film de 1987) forcément on se pose des questions. Notamment sur la nécessité de faire ce remake. Jose Padilha : “Ce qui était fictif alors est devenu réel. Nous avons des drones qui font la guerre, nous aurons bientôt la capacité de remplacer les soldats par des robots. Et on peut ainsi se poser la question, si les Américains sont partis d’Irak parce que des soldats américains mouraient, qu’est ce qui se serait passé si les robots avaient déjà remplacé les soldats. Je n’ai pas la réponse, mais c’est ce dont parle le film”. Robocop actuellement en sortie mondiale.
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