Ce lundi, Nissan a, pour la première fois, critiqué publiquement la partie française dans l'alliance qui le lie à Renault. Le Japonais s'est dit "inquiet" du poids accru de l'État français dans le capital de son partenaire tricolore. En effet, la participation du gouvernement est montée à 19,7% dans le groupe au losange. Face à cette situation, Nissan réclame une profonde modification de l'alliance Renault-Nissan. Le constructeur nippon fait-il preuve d'arrogance en exigeant un rééquilibrage ? Si oui, qu'est-ce qui la justifierait ? - Le regard de Vincent Beaufils, directeur de la rédaction de Challenges. - 18h l'heure H, du lundi 2 novembre 2015, présenté par Hedwige Chevrillon et Guillaume Paul, sur BFM Business.
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