Les bureaux de vote ont ouvert en Grèce à 7 h heure locale pour un référendum crucial. L’avenir du pays dans la zone euro et dans l’Europe en dépend. La question posée porte sur le dernier plan des créanciers dit “réformes contre argent frais” tel qu’il est ressorti de l’Eurogroupe du 25 juin.
La campagne a été aussi brève qu’intense et serrée entre le “Nai”, le oui et l’“Oxi”, le non. Huit jours de campagne seulement pour une question technique mais aussi symbolique. Le Premier ministre issu de la gauche radicale Alexis Tsipras a pris la tête du camp du non.
L‘économie du pays tourne au ralenti depuis la fermeture des banques lundi et l’imposition d’un strict contrôle des capitaux.
Outre les lourds enjeux économiques et européens, le chef du gouvernement lui-même engage son avenir politique.
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