Le passé sur la peau

La guerre est terminée au Liban. La reconstruction du pays est en cours. Pour y parvenir, les différentes factions ont fait des compromis. Mais la mémoire n'est pour autant pas effacée. De plus, la guerre a généré d'importants problèmes économmiques et sociaux. Aussi, la stabilité politique demeure précaire.Le commentaire sur des images de quartiers de Beyrouth en ruine, d'une messe dans une église chrétienne maronite, du siège du Patriarcat maronite à Bkerké, d'images de Walid Joumblatt à la tribune lors d'une conférence, alterne avec l'interview en traduction simultanée d'Elias ABOU RIZK président de la Confédération des travailleurs libanais, de l'interview, en deux parties, d'Issa GORAIEB, journaliste à "L'Orient-Le Jour", de Pierre NASRALLAH SFEIR, Patriarche chrétien-maronite, de l'interview en traduction simultanée de Mohamad HUSSEIN FADLALLAH, religieux chiite et de l'inteview de Walid JOUMBLATT, ministre chargé des Réfugiés