Le muguet, l’autre grand perdant de la crise du coronavirus
par lesechos
Plus de la moitié des brins sont restés dans les champs, faute de circuits de vente, et les horticulteurs, qui se retrouvent avec des hectares de fleurs sur les bras, ont réclamé en vain au gouvernement l'ouverture des fleuristes le 1er mai. Reste la vente à distance et dans les magasins autorisés (supermarchés, boulangeries).
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