Le journalisme de guerre menacé, les bonnets rouges et les All Blacks - L'edito de Christophe Barbier

par LEXPRESS

Il y a toujours des risques à exercer la partie la plus noble du journalisme, le grand reporter de guerre. Mais il semble que ce risque a changé de nature. Ils ne sont plus les victimes collatérales, mais bien la cible.

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