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LE GRAND ENTRETIEN - OGF : cinq questions à Alain Cottet

par bsmart

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Avec plus de deux siècles d’expertise, OGF se positionne à l’avant-garde du secteur funéraire en France. En embrassant l’évolution de la société et les attentes changeantes des familles, OGF transforme la perception et l’approche des services funéraires. Alain Cottet, président, explique le fonctionnement.

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Stocks d'aiguilles - "Il n'y a pas lieu de s'inquiéter à ce niveau" (Alain Fischer)
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Signalements d'embolies pulmonaires après vaccination d'AstraZeneca : "Il n'y avait pas d'excès. C'est le fait qu'il ait quelques cas très atypiques et troublants qui justifient cette pause et cette analyse" (Alain Fischer)
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Alain Juppé : "On a reproché à Jacques Chirac le principe de précaution en disant que c'était paralysant. On se rend compte aujourd'hui que c'était peut-être prémonitoire"
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Alain Mabanckou : "Je ne suis pas très favorable à la démolition de l'histoire. Ma culture n'est pas une culture des statues (...). Mais je ne vais pas déboulonner des statues, parce qu'il faut que je montre à ma descendance qui étaient ces personnages."
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Pour Alain Finkielkraut "le seul racisme autorisé aujourd'hui, c'est la gérontophobie. Dès qu'on est un peu vieux, il faut qu'on dégage. Je dégagerai peut-être un jour quand je n'aurai plus rien à dire"
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"Il faut expliquer que cette vaccination est indispensable, sinon il y aura un désordre dans le système hospitalier qui va toucher toute la population" (Pr Alain Fischer)
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Alain Juppé : "Je ne suis pas sûr que Twitter, Instagram et Facebook aient évoqué quelque chose de précis pour Jacques Chirac. On a basculé dans un autre monde, peut-être n'y aurait-il pas été très à l'aise"
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Alain Juppé : "Je suis triste depuis hier. Nous avions, Jacques Chirac et moi une relation assez unique dans le monde politique."
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24 novembre 2024 - leparisien

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