Les Nations Unies estiment que le crash du vol MH17 de la Malaysia airlines pourrait être “assimilé à un crime de guerre”. Déclaration de Navi Pillay, la commissaire pour les droits de l’homme. Et d’appeler une fois encore à une enquête minutieuse et indépendante sur les circonstances de la tragédie.
Une enquête objective, c’est également le vœu de la Russie. Son ministre des Affaires étrangères Sergeï Lavrov l’a redit ce lundi, insistant également sur “le respect de la présomption d’innocence”.
La tension dans l’Est de l’Ukraine et les combats qui se poursuivent, notamment près de la zone du crash, compliquent le travail des enquêteurs internationaux. Ainsi, ce dimanche, des policiers néerlandais et australiens n’ont pas pu accéder au site.
298 personnes sont mortes dans le crash du vol Amsterdam-Kuala-Lumpur. Les occidentaux et l’Ukraine accusent les séparatistes pro-russes d’avoir abattu l’appareil. Ces derniers démentent et pointent du doigt les autorités ukrainiennes.
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