Le coq Maurice pourra continuer de chanter comme il le souhaite sur l’île d’Oléron. Le conflit qui oppose ses voisins et sa propriétaire a été tranché ce jeudi 5 septembre par le tribunal de Rochefort, en Charente-Maritime, a fait savoir l’avocat de la propriétaire.
« Non vous n’aurez pas, ma liberté de chanter », peut entonner Maurice, si le gallinacée avait envie de se prendre pour Florent Pagny. Le tribunal a tranché ce jeudi 5 septembre : le coq pourra continuer à réveiller de ses chants intempestifs les voisins de sa propriétaire sur l’île d’Oléron.
Il risquait l’exil, mais le tribunal de Rochefort, en Charente-Maritime, s’est positionné en faveur du volatile chantant. C’est l’avocat de la propriétaire de Maurice qui a fait connaître la décision du tribunal correctionnel, qui mettra peut-être un point final à une querelle de voisinage dont les échos ont fini par retentir dans les médias du monde entier.
« Maurice a gagné (et) les plaignants devront verser à sa propriétaire 1 000 euros de dommages et intérêts », a dit M. Papineau, défenseur de la propriétaire du volatile Corinne Fesseau.
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