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Le maire travailliste de Londres, Sadiq Khan, appellera jeudi la rue pour admettre "d'immenses dégâts" causés par la libération britannique de l'Union européenne et pour reconnaître que "le Brexit ne fonctionne pas". "Après deux ans déni et d'évitement, nous devons maintenant faire face la dure vérité: le Brexit ne fonctionne pas", a déclaré cet adversaire de longue date à la fin l'UE dans un discours partir duquel AFP a obtenu des fromateurs. Le Brexit "a affaibli économie, fracturé notre union et terni réputation", doit-il argumenter lors d'un discours prévu pour Mansion House, résidence officielle du seigneur-maire la ville de Londres, le cœur financier capitale et du pays. "Je ne peux tout simplement pas me taire sur les immenses dommages causés par le Brexit", a déclaré M. Khan, selon des extraits de son discours transmis à l'AFP. Mais "ce n'est pas irréparable", a-t-il dit. "Nous avons besoin d'un plus grand alignement avec nos voisins européens - un changement par rapport à ce Brexit extrême et dur", ce qui signifie en particulier "un débat pragmatique sur les avantages de faire partie de l'Union douanièreet le marché unique "a-t-il expliqué. Cette critique, qui cible gouvernement, contraste également avec la position officielle de l'opposition travailliste dont le chef, Keir Starmer, s'opposant également au Brexit, a promis qu'il adopterait la volonté exprimée par les électeurs de "reprendre contrôle". M. Starmer affirme que la main-d'œuvre peut résoudre les problèmes l'accord de sortie l'UE et «faire fonctionner le Brexit». Selon le maire de Londres, "personne ne veut voir un retour à la division et dans les impasses qui ont dominé notre corps politique pendant cinq longues années". Mais "la réalité est que la ville", le puissant centre financier Londres, "est touché par la perte de contrats et talents", au profit d'autres endroits européens comme Paris ou Amsterdam, a-t-il souligné. Le soutien au Brexit n'a jamais été aussi bas dans la chaîne: moins d'un tiers des Britanniques croient que c'était la bonne décision, selon une enquête en novembre du YouGov Institute.
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