« La violence, ça reste en mémoire » : le Rémois Roger Boulanger raconte l’enfer des camps

par L'Union

Refusant de combattre dans l’armée du Reich, le Mosellan Roger Boulanger, installé à Reims depuis 1950, a vécu l’enfer des camps de concentration. Quatre-vingts ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, signée dans le lycée rémois où il enseigna longtemps, il se souvient.

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