La suite indique que l'Arabie saoudite, les Émirats et l'Égypte, anciens alliés de l'Amérique, sont en train de conclure une alliance dirigée par la Russie et la Chine, et que le Maroc, allié des Occidentaux, est ouvertement en désaccord avec la France, tandis que ceux qui ont vécu toute leur vie entre les Russes et les Chinois.
Des informations ont fait état de son rapprochement avec les Américains et les discussions sur l'Algérie, à laquelle les BRICS ont fermé leurs portes, ont été révélées au grand jour.
Parlez de victoire et de communication au niveau entre les États-Unis et l’Algérie.
Voici le reste de l'actualité et des détails.
Nous commençons par déterminer l’emplacement de l’Algérie avant les récentes nouvelles, où les guerriers du désert cherchaient depuis des années à pénétrer dans l’organisation des BRICS, forts de leurs relations étroites avec la Russie et la Chine, leader du nouveau camp oriental.
La Russie est le partenaire militaire le plus important de l'Algérie depuis l'époque de l'Union soviétique, et la Chine est le partenaire économique le plus important des Algériens.
On dit depuis longtemps que l’Algérie est le dernier bastion de l’influence russe.
Dans les pays arabes derrière la Syrie, l'Algérie faisait même partie de cette alliance, unie par des liens forts avec les alliés russes comme l'Iran et la Syrie, et avec tous les pays qui gravitent autour de Moscou, une relation qui était le bouclier algérien face au Maroc similaire. , qui a favorisé des relations fortes avec l'Occident, de sorte que le conflit algéro-marocain Il a été le maître du conflit Est-Ouest, et plus encore au plus fort du conflit. Russe-américaine, l’Algérie est allée le plus loin dans sa relation avec Moscou.
L’Occident et ses alliés ont boycotté les Russes. Les Algériens ont déclaré : « Nous vous ouvrirons nos portes » et ils ont conclu avec eux les plus grandes transactions d’armes dans l’histoire des deux pays. Cela a incité l’Occident à accuser les Algériens de tenter leur chance. pour sauver l'économie de Moscou, perturbée par les sanctions occidentales.
Même 27 membres du Congrès américain demandent au secrétaire d'État de Washington, Anthony Blake, d'imposer des sanctions à l'Algérie et de la soumettre à l'America's Adversaries Act.
La justification de leur inquiétude était la poursuite des relations croissantes entre l’Algérie et la Russie, en particulier après les informations faisant état d’un accord visant à fournir des armes russes à l’Algérie d’une valeur de 7 000 000 000 de dollars, mais devinez ce qui s’est passé ? Le Département d'État américain a rejeté la demande des membres du Congrès et a dit d'attendre
Il y a quelque chose qui est cuit à feu doux, et c’est ce qui est cuit et qui sent bon après que les BRICS ont rejeté la demande d’adhésion de l’Algérie.
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