La Pologne, qui attend 2000 réfugiés, dit vouloir aller au-delà, sans donner de chiffres pour l’instant. Pour le Premier ministre, Ewa Kopacz, l’effort consenti pourra se réaliser, à certaines conditions. Savoir qui entrera sur le territoire, et définir le moment des arrivées. Pourtant, Varsovie n’a pas accepté la proposition de Jean-Claude Juncker, d‘établir des quotas obligatoires. L’Union demande à la Pologne d’accueillir 9 300 demandeurs d’asile, pour l’instant sans succès. “Prenons en compte le fait que la majorité de ceux qui aident les migrants à rejoindre les frontières européennes sont des criminels, appartenant à des organisations, spécialistes du trafic d‘êtres humains”, affirme le Président polonais Andrej Duda. Les centres d’accueil qui hébergent les réfugiés attendaient encore de nouveaux arrivants ce mercredi.
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