La mort d’Elizabeth II pourrait-elle signer la fin de la monarchie britannique ?
par Libération
Devenue reine à 25 ans, Elizabeth II a passé sa vie à ériger la réserve comme vertu cardinale de son règne. Le roi Charles III, lui, n’a jamais hésité à exprimer ses opinions, une franchise qui a pu lui coûter très cher dans l’opinion publique.Dans cette vidéo, la cheffe du service planète de Libération Sonia Delesalle-Stolper explique pourquoi le nouveau souverain ne suscitera probablement pas la même ferveur que sa mère. Plus ouvert, plus moderne peut-être, le roi Charles III est aussi plus exposé au risque de polémiques, ce qui pourrait, à terme, porter préjudice à l’institution de la monarchie britannique.
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