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Vendredi, la Maison Blanche a lancé un avertissement sérieux contre le "partenariat militaire à grande échelle" et toujours plus approfondi entre Téhéran et Moscou, qui a réfuté pour avoir besoin du soutien militaire de quiconque en Ukraine. Alors que l'Iran fournit déjà l'armée russe des drones utilisés en Ukraine, John Kirby, porte-parole du Conseil de sécurité nationale de l'exécutif américain, a déclaré que la Russie "offrait un niveau de soutien militaire et technique sans précédent iranan, qui" transforme leur relation en une pleine antéet partenariat de défense entier ". Cette évolution est "nuisible" pour l'Ukraine, les pays voisins d'Iran et "la communauté internationale", a-t-il ajouté, annonçant les mêmes sanctions de l'impulsion contre trois entités russes particulièrement actives dans l'acquisition et la diffusion des drones iraniens. Selon American Intelligence, Moscou et Téhéran envisagent en particulier de lancer une production conjointe de drones "tueurs" en Russie, a déclaré John Kirby, sans donner plus de détails sur l'avancement du projet. Le porte-parole a également rappelé que l'Iran envisageait de vendre des "centaines" de missiles balistiques à la Russie, des informations que les Américains avaient déjà rendues publiques. "L'aide va dans les deux sens", a déclaré John Kirby. Avion de combat Pour sa part, Moscou se prépare, selon les États-Unis, pour fournir à l'Iran un équipement "sophistiqué", des hélicoptères, des systèmes de défense anti-aérienne et des avions de combat, a déclaré le porte-parole. L'ambassadeur du Royaume-Uni aux Nations Unies, Barbara Woodward, a également publié une déclaration accusatrice contre l'Iran et la Russie. "La Russie nie ces projets. Mais ils ont également nié qu'ils allaient envahir l'Ukraine, donc nous ne les croyons pas, "dit-elle. Le ministère britannique des Affaires étrangères, pour sa part, a dénoncé les "transactions sordides" entre Moscou et Téhéran. "Nous demandons à l'Iran de changer la trajectoire", a déclaré John Kirby à propos du projet de vente de missiles et de celui d'une ligne commune de production de drones. "Nous utiliserons tous les moyens à notre disposition pour révéler et déranger ces activités et nous sommes prêts à en faire plus", a déclaré le porte-parole. Vendredi après-midi, lors d'une réunion du Conseil de sécurité des Nations Unies sur la question de la fourniture d'armes des deux parties dans la guerre en Ukraine, la Russie a une fois de plus nié avoir reçu des armes de Téhéran, sans mentionner les accusations américaines de son propre soutien à l'Iran. "Le complexe militaro-industriel russe se passe très bien et n'a besoin de personne", a déclaré l'ambassadeur russe à l'ONU Vassili Nebenzia, notant "réfuté à plusieurs reprises", ces accusations. Au contraire, il a estimé que «l'industrie militaire ukrainienne n'existe
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