La présidence de l’union européenne revient pour le premier semestre 2014 à la Grèce qui promet une gestion économe des finances de l’union.
Une présidence spartiate aurait même affirmé le vice-ministre des Affaires Etrangères, Dimitris Kourkoulas qui devra gérer un budgets de 50 millions d’euros contre 62 millions dépensé lors de la présidence chypriotte.
Un mandat qui intervient alors que le pays connait une timide reprise de croissance après 6 ans de recession.
Mais sans doute trop timide pour impacter une économie encore sinistrée par un taux de chomage qui culmine à 27 % et une population laissé exsangue par les brutales politiques d’austérité.
Le gouvernement grecque pourrait demander une rallonge financière à la fin du second plan de sauvetage toujours en cours.
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