La France, victime collatérale de la dérive italienne
par BFMTV
Les taux d'intérêt sur la dette italienne ne se sont pas détendus après l'annonce du départ de Silvio Berlusconi. Ils atteignent désormais 7,25% ce qui est totalement intenable sans l'intervention du FMI ou de la BCE. Et dans ce sillage, les taux Français sont aussi en hausse...
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