« La France a tué mon mari » : la colère de la veuve du gendarme mort après un refus d’obtempérer

par leparisien

Ce mercredi en fin de matinée, à Mandelieu-la-Napoule, la veuve de l’adjudant Éric Comyn, mort lundi soir, percuté par un conducteur lors d’un refus d’obtempérer, a pris la parole. « La France a tué mon mari par son insuffisance, son laxisme et son excès de tolérance », a-t-elle lancé lors d’un discours prononcé dans le cadre d’une cérémonie d’hommage .

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