La Cité du Livre : La Cité du Livre - François Baroin
par LCP
Unique en son genre, ce magazine bimensuel invite les téléspectateurs dans les arcanes de la cité littéraire pour découvrir tout l’univers du livre. De l’actualité littéraire à l’économie du monde des livres, Émilie Aubry propose une lecture éclairée des dernières publications et un regard avisé sur les coulisses de ce secteur.+ L’essai de la semaine : "Le Rose et le gris" de Michèle Cotta.Résumé : Il n’y a pas d’homme moins "normal" qu’un président de la République. On n’accède pas à l’Élysée par sa normalité. Quel homme normal sacrifierait ses jours et ses nuits pour y parvenir, puis exercer un pouvoir aussi difficile, presque impossible par ces temps de crise ? Ses amis disent de François Hollande qu’il est un galet : dur à l’intérieur, lisse à l’extérieur, résistant au flux et au reflux. L’histoire racontée dans ce livre, celle des débuts de son quinquennat, commence bien. Pourtant, à l’automne, la frontière entre le "rose" et le "gris" est devenue on ne peut plus imprécise. Reprenant la riche formule de ses Cahiers secrets de la Ve République, Michèle Cotta raconte les premiers mois du nouveau quinquennat grâce à plus d’une cinquantaine d’entretiens avec ceux qui, à gauche comme à droite, en ont été les observateurs les mieux renseignés ou les principaux acteurs, à commencer par le président de la République et son Premier ministre.+ La cité en coulisses : Cette semaine, les équipes de "La cité du livre" enquête sur le terrain aux fins de savoir "Qui veut la peau des petits libraires ?" Depuis quelques années maintenant, les grandes surfaces exposent des rayons livres et ouvrages en tout genre qui pourraient susciter quelques émois chez certains libraires. Est-ce de la concurrence déloyale ? C’est l’enquête de la semaine …+ Le roman de la semaine : "Acharnement" de Mathieu Larnaudie, ouvrage édité chez Actes Sud.Résumé : Depuis la défaite du ministre dont il rédigeait les discours, Müller a mis à distance sa fonction professionnelle de ’plume’. Dans la quiétude de sa demeure champêtre, il s’ingénie à élaborer l’allocution politique idéale, s’accordant quelques addictions (séries policières télévisées et petits verres de Chartreuse) et observant d’un œil acerbe, en connaisseur, les campagnes électorales qui se succèdent et ramènent aux affaires des ambitieux qu’il a jadis côtoyés. Mais sa retraite est bientôt troublée par d’intempestifs suicidaires, des inconnus qui, du viaduc surplombant sa propriété, viennen
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