« Je vais être obligé d'y aller... » : avec l'affaire Bygmalion, qui laisse l'UMP décapitée après la démission forcée de Jean-François Copé, Nicolas Sarkozy se dit qu'il n'a peut-être plus le choix. Il décidera cet été s'il se lance ou pas à la reconquête de l'UMP lors du congrès prévu à l'automne, option qu'il écartait jusqu'ici. Mais il ne veut pas laisser les clés de l'UMP tomber entre les mains de rivaux, qui pourraient lui barrer la route de la présidentielle 2017. http://www.leparisien.fr/#xtor=AL-1481423430
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