L’affaire des assistants parlementaires du Rassemblement national expliquée en trois minutes
par Huffington Post
À partir du 30 septembre, le Rassemblement national et 27 cadres du parti sont jugés pour détournement de fonds publics au détriment du Parlement européen. POLITIQUE - C’est une drôle de rentrée pour le Rassemblement national. Une drôle de rentrée politique, mais aussi judiciaire puisque le parti d’extrême droite s’apprête à se retrouver sur le banc des accusés, comme vous pouvez le voir dans notre vidéo en tête d’article. Huit ans d’enquête, près de 7 millions d’euros en jeu et 27 cadres du parti jugés,dont Marine Le Pen qui risque gros… C’est l’affaire des assistants parlementaires du RN. On vous explique. Jean-Marie Le Pen, Marine Le Pen, Louis Aliot, Wallerand de Saint-Just... Tous sont - ou ont été - des figures du Rassemblement national. Et tous sont soupçonnés d’avoir trempé dans un vaste système d’emplois fictifs et de détournement de fonds européens au profit de leur parti. Vingt assistants parlementaires dans le viseur Tout commence en 2015. Le Rassemblement national publie son organigramme, et Bruxelles s’interroge. À l’époque, vingt assistants parlementaires du Front national au Parlement européen occupent aussi des postes clés au sein du parti à la flamme, à Paris. C’est par exemple le cas de Julien Odoul, conseiller spécial de Marine Le Pen et assistant de l’eurodéputée Mylène Troszczynski entre 2014 et 2016. Lire la suite sur Le HuffPost ----- Abonnez-vous à la chaîne YouTube du HuffPost dès maintenant : https://www.youtube.com/c/lehuffpost Pour plus de contenu du HuffPost: Web: https://www.huffingtonpost.fr/ Facebook: https://www.facebook.com/LeHuffPost/ Twitter: https://twitter.com/LeHuffPost Instagram: https://www.instagram.com/lehuffpost/ Pour recevoir gratuitement notre newsletter quotidienne: https://www.huffingtonpost.fr/newsletter/default/
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