«Inquiète» des révélations de Wikileaks sur les écoutes de la NSA à l’encontre de trois présidents français, la porte-parole du Parti socialiste, Juliette Méadel, fustige ce mercredi sur LCI que le «contrat de confiance» soit entaché par la surveillance de pays «partenaires». «Quand on a confiance en ses partenaires, on n'a pas besoin de les écouter», déplore-t-elle avant d'assurer que la France n'a jamais utilisé ce genre de pratiques en retour : «Cela fait parti de nos principes».
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