Japon : la photographie pour l'amour des "Love dolls mortes"
par Maxppp
Human-Love Doll Factory La photographe indépendante Leiya Arata propose une drôle de gamme de services dans son studio d'Osaka Notamment les funérailles pour des poupées de compagnie, devenues des "êtres" chères, les love dolls, Ces poupées faites de silicone, qui à s'y m'éprendre ressemblent à de vraies femmes L' "usine" de fantasmes s'adresse à ceux qui ont des désirs et des rêves qui pourraient ne pas être les bienvenus dans cette société Leiya Arata propose aussi à ses clients de se déguiser en love dolls et de les mettre en scène lors de jeu de rôle Les personnages en tenues légères évoluent alors dans des scénari de meurtres ou de suicides fantastiques Les offres uniques d'Arata attirent à la fois des hommes et des femmes qui sont prêts à payer beaucoup jusqu'à plusieurs centaines de dollars américains pour ces expériences et repartir avec les souvenirs pris par Arata Elle explique que ses clients recherchent tous un lieu où ils sont aimés et acceptés pour ce qu'ils sont «Je voulais être belle et être possédée par quelqu'un. Ne pas être dominée, mais être aimée et chérie», explique la japonaise Ai Kaneko, une infirmière célibataire de 39 ans qui est venue de Tokyo Crédit photos Dai Kurokawa / Epa-Efe / Maxppp ABONNEZ-VOUS à notre chaîne Youtube pour la news multimedia
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