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Israël Nisand, gynécologue : "Je ne vois pas pourquoi on maintiendrait absolument l'anonymat des donneurs de sperme"

par franceinter

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Israël Nisand, gynécologue-obstétricien, président du Collège national des gynécologues et obstétriciens (loi bioéthique) est l'invité du Grand Entretien. Plus d'info : https://www.franceinter.fr/emissions/l-invite-de-8h20-le-grand-entretien/l-invite-de-8h20-le-grand-entretien-24-juillet-2020

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Israël Nisand, gynécologue, sur la ROPA : "Il faut accepter que dans un couple de femmes, les deux aient envie de s'engager physiquement"
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Ghada Hatem-Gantzer : "On a bien vu qu'à l'hôpital les métiers étaient très féminins et très essentiels. On a eu l'espoir que les choses changeraient, que la reconnaissance, la rémunération allaient changer. Ca n'a pas été au rendez-vous."
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Anne-Cécile Mailfert : "Le télétravail peut être catastrophique quand il n'est pas pensé en termes d'égalité entre les femmes et les hommes. Quand on demande aux femmes de télétravailler, il faut qu'elles soient dans de bonnes conditions."
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Anne-Cécile Mailfert : "On va perdre une trentaine d'années d'égalité entre les femmes et les hommes. Les femmes et les hommes ne sont pas dans les mêmes secteurs : quand on a une crise, elle affecte de manière disproportionnée certains secteurs."
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Ghada Hatem-Gantzer et Anne-Cécile Mailfert : "Le genre c'est quelque chose qu'on analyse sur des masses. Il y a des hommes qui vivent des choses plus terribles que certaines femmes. Mais il y a des choses sur lesquelles on peut agir de manière sociétale"
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Ghada Hatem-Gantzer - Anne-Cécile Mailfert - Dominique Joseph : "Il faut que les filles se saisissent de tous les métiers, qu'elles ne subissent pas, qu'elles prennent le pouvoir. Et ça commence au berceau."
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Anne-Cécile Mailfert : "Il n'y a pas de disposition concernant l'inégalité homme-femme: le mot "femmes" n'est même pas prononcé dans les plans de relance. C'est vous dire à quel point ça n'est pas pensé."
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Anne-Cécile Mailfert : "Il y a eu une réponse, que je tiens à saluer, des pouvoirs publics face aux violences conjugales. Pour moi, la baisse des féminicides s'explique aussi parce qu'il y a eu une mobilisation des pouvoirs publics."
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Ghada Hatem-Gantzer : "En matière d'accès à l'avortement, la période a été extrêmement compliquée pour toutes les structures. Et on n'a jamais fait autant d'aide alimentaire à la Maison des femmes, ce qui n'est pas notre vocation première."
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Dominique Joseph : "Les milliards mis dans le plan de relance sont ciblés vers des métiers masculins, ceux de la tech, de la transition écologique, majoritairement occupés par des hommes."
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Samy Cohen : "On ne sait pas vraiment ce que le Hamas gagne à aller aussi loin, à part une popularité politique au sein du monde palestinien. Sur le terrain, ce sera encore des destructions et des souffrances pour la population Gazaouie"
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"La situation est grave, on n'avait pas vu de telles émeutes depuis octobre 2000. C'est beaucoup plus grave que des échanges de tirs entre le Hamas et l'armée israélienne", estime Samy Cohen, spécialiste de la société israélienne
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Elias Sanbar, délégué permanent de la Palestine à l'Unesco : "La 'Terre Sainte' ne peut être que plurielle, sinon elle est source de mort, de guerre et de sang. Nous avons une perte de la pluralité, du côté Israélien comme du côté Palestinien."
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Israël : "On n'avait pas vu de telles émeutes depuis octobre 2000"
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Britt Bennett, romancière américaine : "Les normes imposées aux Oscars ne sont pas inquiétantes du tout, la catégorie "diversité" inclut les femmes, les personnes de couleur, les LGBT, ça fait beaucoup de monde qui relève de la diversité."

Jamel Debbouze : Pourquoi il ne voulait pas que son fils Léon aille à l'école ?

24 novembre 2024 - purepeople

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