C'est -après le climat- le sujet qui domine les débats à l'Assemblée Générale de l'ONU, ouverte aujourd'hui: l'Iran. Dix jours après l'attaque contre deux des plus importants sites pétroliers d'Arabie Saoudite. Des frappes dont Paris, Londres et Berlin attribuent ouvertement la "responsabilité"à la République islamique."Réquisitoire irresponsable" pour Téhéran.La France peut-elle à la fois condamner le pouvoir iranien et prétendre à un rôle de médiateur entre l'Iran et les États-Unis ?
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