Le père de Gilad Shalit souligne que son fils n'est pas "un prisonnier de guerre", car ceux-ci ont des droits, mais un "otage". Le dernier signe de vie de son fils date d'il y a deux ans. Noam Shalit n'a jamais eu de contact direct avec lui, et aucun organisme indépendant, comme la Croix-Rouge ou le Croissant-Rouge, n'a été autorisé à le voir. Le 25 juin prochain, cela fera cinq ans que le jeune homme franco-israélien a été enlevé dans la bande de Gaza. Noam Shalit a porté plainte lundi contre le Hamas en France, pour "enlèvement et séquestration".
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