Hollande : "Agir en Irak, c'est aussi prévenir le terrorisme en France"

par Ça Zap - Zapping TV

Opérations d'aérolargage, vols de reconnaissance, actions de formation des forces spéciales d'élite du contre-terrorisme, frappes sur des sites tenus par Daech... En Irak, l'engagement de la France depuis septembre 2014 et le début de l'opération Chammal au sein d'une coalition dirigée par les États-Unis répond à plusieurs objectifs, qui ont tous la même cible : Daech. Et un coût : environ 360 millions d'euros en 2016, selon le ministre de la défense Jean-Yves Le Drian. Lors de sa visite, entamée à Bagdad ce lundi 2 janvier en début de matinée, le chef de l'État français, qui était déjà venu en Irak en 2014, est venu « réaffirmer l'engagement des forces françaises au sein de la coalition internationale », a indiqué l'Élysée. À proximité de l'aéroport de Bagdad, où il a atterri, François Hollande a dans un premier temps rencontré les soldats français qui forment les forces spéciales irakiennes luttant contre Daech. « Tout ce qui contribue à la reconstruction en Irak, c'est autant de conditions supplémentaires pour éviter qu'il puisse y avoir de la part de Daech des actions sur notre propre territoire », a-t-il déclaré devant eux.

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