Actu en vidéo

Haut-Karabakh : "Ce que j’ai vu, c'est un peuple mobilisé, un peuple en larme" (Sylvain Tesson)

par franceinter

Signaler

Sylvain Tesson, écrivain, auteur de "L'énergie vagabonde" (Robert Laffont, collection Bouquins), est l'invité du Grand entretien de France Inter. Plus d'info : https://www.franceinter.fr/emissions/l-invite-de-8h20-le-grand-entretien/l-invite-de-8h20-le-grand-entretien-18-novembre-2020

Lecture automatique

Oui Non

Autres vidéos

Tous publics

"La France, qui n’a plus tellement de roman, de récit, à sa société a trouvé la laïcité. Mais quand cela devient l’oubli absolu de ses racines, c'est tout à fait terrible" (Sylvain Tesson)
Tous publics

"Ce qui est assourdissant c’est le silence qui a régné de la part de l’Europe" (Sylvain Tesson)
Tous publics

Fermeture des librairies : "C'est quand même une immense erreur de communication. Le livre est un miracle de démocratie, pour le prix de deux paquets de cigarettes" (Sylvain Tesson)
Tous publics

Arméniens du Haut-Karabakh : "Ils nous disaient 'Où croyait-vous qu'Erdogan va s'arrêter?'" (Sylvain Tesson)
Tous publics

Nagorny Karabakh : "Je pense que quelque chose est supérieur au droit international et au droit stalinien : c’est le passé"(Sylvain Tesson)
Tous publics

"Mon coeur me porte vers l'Arménie" (Sylvain Tesson)
Tous publics

Sylvain Tesson : "Dans le courage, les douleurs qu’ils subissent, l’errance, il y a des choses similaires entre Homère et les migrants"
Tous publics

Sylvain Tesson : "Dans le désarroi relatif de nos sociétés, Homère est comme un phare"
Tous publics

Sylvain Tesson : "Le nouvel Ulysse est un peu comme nos footballeurs"
Tous publics

Sylvain Tesson : « Dans le désarroi relatif de nos sociétés, Homère est comme un phare »
Tous publics

Sylvain Tesson : "La première victoire du virus, c'est la peur"
Tous publics

Sylvain Tesson : "Mon œil a vu une panthère avant que mon cerveau ne comprenne que je la voyais. [...] Cette vision, qui semble descendue du ciel, apparue de la terre, sortie de la montagne vous ramène au plus profond de vous-même"
Tous publics

Sylvain Tesson : "Quand on a de grands chagrins, de grands deuils, on cherche sa consolation comme on peut [...] Cette rencontre de la panthère a ramené à ma mémoire ma mère"
Tous publics

Le photographe Vincent Munier : "C'est un paradoxe de montrer des endroits non anthropisés, où il peut y avoir un tourisme qui pourrait porter préjudice à ces animaux. Je suis en mutation à ce niveau, je réduis mes voyages pour essayer d'être cohérent."
Tous publics

Sylvain Tesson : "Notre modalité de vie, c'est tout tout de suite. Là, il n'y aura peut-être rien jamais. La proportion entre ce qui est donné à voir et le temps que vous aurez attendu à le faire venir est immense."
Tous publics

Le photographe Vincent Munier : "En France, parfois je suffoque. [Au Tibet], si haut, on se sent respirer. "
Tous publics

Sylvain Tesson : "Au Tibet, on s'installe dans un territoire parfois lugubre et fantomatique, avec du mal à respirer, mal à la tête. Ces désagréments physiques disparaissent avec l'espérance que quelque chose apparaisse"
Tous publics

Britt Bennett, romancière américaine : "Les normes imposées aux Oscars ne sont pas inquiétantes du tout, la catégorie "diversité" inclut les femmes, les personnes de couleur, les LGBT, ça fait beaucoup de monde qui relève de la diversité."
Tous publics

Britt Bennett, romancière américaine
Tous publics

Britt Bennett, romancière américaine : "On a eu la guerre de sécession, la division, aux États-Unis, on connait. C'est un moment de division, avec des débats extrêmement personnalisés, mais je pense que la réconciliation est possible."
Tous publics

Britt Bennett, romancière américaine : "Je ne peux pas vous dire que je suis tombée raide dingue de Joe Biden. La première fois que j'ai voté aux présidentielles c'était pour Obama, je ne peux pas vous dire que j'ai le même enthousiasme."
Tous publics

Britt Bennett, romancière américaine : "C'est quelque chose de malmener quelqu'un sur Twitter, c'est autre chose que de se voir empêché de publier. Le jour où on va en arriver là, là, je m’inquiéterai."
Tous publics

Dominique Cardon, sociologue : "S'inquiéter des fake news sur Twitter est assez vain, en revanche dans les petites niches de Messenger et Whatsapp, les chances que quelqu'un vous dise "arrête, c'est faux" sont moins importantes"
Tous publics

Dominique Cardon, sociologue : "On voit réapparaître une théorie sur les effets forts des médias : quand la radio est arrivée on pensait qu'elle avait des effets hypnotiques"

Cette touriste cherche depuis des jours sa chienne perdue à l’aéroport Charles-de-Gaulle

24 novembre 2024 - leparisien

Liens commerciaux