Guillaume Balas : «Il faut que la transition écologique soit sociale, c'est-à-dire qu'on n'oppose pas la fin du monde et la fin du mois»
par CNEWS
Guillaume Balas s'explique sur son grand plan vert à hauteur de 500 milliards d'euros et fait une allusion aux déclarations d'Emmanuel Macron en demandant "qu'on n'oppose pas la fin du monde et la fin du mois"
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