Lorsqu'un couvre-feu à Kiev est entré en vigueur samedi, la violence de l'ingérence de la Russie a conduit l'Occident à proposer une nouvelle série de sanctions.
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Lorsqu'un couvre-feu à Kiev est entré en vigueur samedi, la violence de l'ingérence russe a décidé que l'Occident proposerait une nouvelle série de sanctions.
La Russie a annoncé samedi une offensive élargie contre l'Ukraine malgré un tollé international, annonçant des sanctions toujours plus sévères et fournissant à Kiev de nouvelles armes, notamment à l'Allemagne.
Dans un avenir proche, "la nuit sera à nouveau difficile. Les soldats (russes) tentent toujours d'entrer à Kiev", a écrit samedi soir le maire de la capitale ukrainienne, Vitaly Klitschko, sur son compte Telegram. de ses attaques.
Dans la capitale, abandonnée par les habitants et combattant les troupes russes et ukrainiennes samedi, le couvre-feu a été prolongé jusqu'à 08h00 lundi. Le métro est à l'arrêt et sert désormais d'abri anti-bombes pour la population
Mais la décision violente d'intervenir en Russie samedi a proposé une nouvelle série de sanctions à l'Occident, notamment pour exclure de nombreuses banques russes de la plateforme interbancaire Swift, un élément vital de la finance mondiale.
En outre, les partenaires occidentaux ont proposé de restreindre davantage l'accès de la banque centrale aux marchés des capitaux et de "paralyser les actifs de la banque centrale" pour empêcher Moscou de les utiliser pour financer le conflit. , selon les mots de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen.
L'Allemagne a également annoncé la fourniture de 1 000 lance-roquettes antichars et de 500 missiles sol-air à Kiev, en rupture avec sa politique traditionnelle de refus d'exporter des armes létales vers les zones de conflit.
Au moins 198 civils tués
Samedi, troisième jour de l'intervention du président russe Vladimir Poutine, des combats ont éclaté dans de nombreuses villes ukrainiennes en dehors de la capitale, faisant au moins 198 civils tués depuis jeudi, dont trois enfants et 1.115 blessés, selon le ministre ukrainien de la Santé Viktor. Lyashko.
Le Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) a précédemment estimé que plus de 116 000 réfugiés avaient fui vers les pays voisins tels que la Hongrie, la Moldavie, la Slovaquie et la Roumanie.
"Notre armée contrôle Kiev et les principales villes autour de la capitale", a déclaré Vladimir Zelensky sur Facebook, affirmant avoir "enfreint les plans de Moscou". il a appelé
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