Manuel Valls a félicité la démarche de trois anciens premiers ministres : " Je veux saluer les déclarations responsables d’Alain Juppé, Jean-Pierre Raffarin et François Fillon qui savent que dans ces moment-là, chaque déclaration compte " mais le Premier ministre n’a pas manqué de tacler l’ancien président Nicolas Sarkozy : "Je veux m’inscrire en faux contre ceux, notamment un ancien président, qui déclare que la Grèce est sortie de fait de la zone euro, ces polémiques, ces analyses trop rapides nuisent au débat".
Le Premier ministre a tenu à rappeler l’engagement de le France dans le dossier grec et son souhait de voir le pays rester dans la zone euro : "un accord est encore possible, un accord est toujours possible et un accord est souhaitable. Le dialogue qui avait été interrompu ce week-end a repris et la France y est pour beaucoup […] Nous voulons un accord équilibré, global et durable. Nous sommes convaincus que la place de la Grèce est dans la zone euro
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