La menace d'une nouvelle crise politique grandit au fil des heures. Deux jours après la fermeture arbitraire de la télévision publique, une grève générale paralyse le pays et la résistance s'organise. En effet, la fermeture des chaînes de télévision et de toutes les stations de radio du service public décidée par le gouvernement Samaras supprime d'un coup 2 700 emplois du secteur public.
La Grèce tourne donc au ralenti ce matin. Les transports et les administrations devraient être les plus touchés par le mouvement lancé dans l'urgence. Aucun bulletin d'information aujourd'hui : les journalistes de l'audiovisuel se mobilisent. Les quotidiens vont toutefois paraître aujourd'hui mais pas demain, en raison de la grève des journalistes de la presse quotidienne ce jeudi.
Le point avec la correspondante Alexia Kefalas.
.vec la correspondante Alexia Kefalas
Vidéo suivante dans 5 secondes
