Si le juge a autorisé lundi la sortie du dernier film de François Ozon, «Grâce à Dieu», sa sortie est toujours compromise.
Régine Maire, ancienne membre du diocèse de Lyon, l'a assigné en référé. Elle ne souhaite pas que son nom soit cité dans le long métrage. Un combat de longue haleine que le réalisateur compare à celui des victimes de pédophilie.
En cas de réponse favorable de la justice lyonnaise à la demande de Régine Maire, la sortie du film, mercredi, serait remise en cause.
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