Gilets jaunes. Sophia Chikirou fait polémique avec ses propos sur les journalistes agressés.
par Kangai News
Gilets jaunes. Sophia Chikirou fait polémique avec ses propos sur les journalistes agressés. Sophia Chikirou a expliqué ne pas « ressentir de compassion sincère » pour les journalistes alors que certains ont porté plainte pour des violences lors de la couverture des manifestations des Gilets jaunes. Dans un message publié sur Facebook lundi 26 novembre, l'ancienne directrice de communication de Jean-Luc Mélenchon a également estimé que « les réseaux sociaux sont plus sûrs » pour s'informer. « Je ne parviens pas à ressentir de compassion sincère pour ces journalistes. » Dans un message publié sur son compte Facebook lundi 26 novembre, Sophia Chikirou est revenu sur les agressions dont ont été victimes certains journalistes en marge du mouvement des Gilets jaunes. « Leur niveau de corruption mentale, leurs mensonges et la désinformation qu'ils nous imposent, sont autant d'éléments qui justifient la colère », écrit l'ancienne directrice de communication de Jean-Luc Mélenchon. Sophia Chikirou a expliqué ne pas « ressentir de compassion sincère » pour les journalistes alors que certains ont porté plainte pour des violences lors de la couverture des manifestations des Gilets jaunes. Dans un message publié sur Facebook lundi 26 novembre, l'ancienne directrice de communication de Jean-Luc Mélenchon a également estimé que « les réseaux sociaux sont plus sûrs » pour s'informer. « Je ne parviens pas à ressentir de compassion sincère pour ces journalistes. » Dans un message publié sur son compte Facebook lundi 26 novembre, Sophia Chikirou est revenu sur les agressions dont ont été victimes certains journalistes en marge du mouvement des Gilets jaunes. « Leur niveau de corruption mentale, leurs mensonges et la désinformation qu'ils nous imposent, sont autant d'éléments qui justifient la colère », écrit l'ancienne directrice de communication de Jean-Luc Mélenchon. Pour rappel, cinq journalistes de BFM TV et de CNews ont porté plainte pour « violences aggravées », « menaces de mort » et « tentative d'agression en réunion » après avoir couvert les manifestations des Gilets jaunes à Toulouse ce week-end. « Les réseaux sociaux sont plus sûrs pour s'informer » La directrice de l'agence de communication Mediascop va même plus loin. « Évitons de donner le prétexte aux journalistes de se victimiser. Ne les lynchez pas : ne leur parlez pas, ne les lisez pas et ne les regardez pas », demande-t-elle. Pour Sophia Chikirou, les réseaux sociaux sont d'ailleurs « plus sûrs » pour s'informer. « J'y ai trouvé des images fortes, de tout le pays, j'y ai vu des commentaires censés [sic] de toute sorte de gens. Quand la télé et la radio désinforment, les citoyens trouvent le moyen de se passer les infos », avance-t-elle. Des propos nuancés Comme l'a repéré le HuffPost, le message n'a pas manqué de faire polémique, notamment auprès de plusieurs journalistes, qui ont dénoncé les propos de la communicante. Dans un tweet posté ce mardi, Sophia Chikirou a tenté de se justifier et a voulu nuancer son discours. « À propos de nos chers journalistes : je ne voulais pas qu'ils puissent se victimiser et recommandais donc de ne pas les agresser », écrit-elle.
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