L'opposant Jean Ping a saisi la Cour pénale internationale. Il accuse les autorités gabonaises d'avoir commis des crimes contre l'humanité après l'élection présidentielle du 27 août 2016. Alors que le pouvoir parle de quatre morts dans les troubles qui ont suivi l'élection, l'opposition dénombre vingt-deux personnes tuées par balles. Amadou à Ségou se demande de quelles preuves dispose Jean Ping pour expliquer cette différence. Anne Cantener, journaliste au service Afrique de RFI, lui répond avec Juan Gomez.
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