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France Inter - un auditeur à bout de nerf interpelle Gabriel Attal en larmes puis est coupé

par HILGHTLIGHTNOUVELLES

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France Inter - un auditeur à bout de nerf interpelle Gabriel Attal en larmes puis est coupé

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Gabriel Attal : "L'important c'est qu'il n'y ait pas d'idéologie, dans un sens ou dans l'autre, dans l'assiette de nos enfants. La question doit être la santé et le choix. Je suis toujours pour que les élèves et les familles aient le choix."
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Gabriel Attal : "La proposition de la mairie de Paris sera évidemment étudiée. Mais j'entends très peu, voire aucun scientifique, dire qu'en trois semaines on peut terrasser le virus et tout rouvrir."
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Gabriel Attal : "On conserve un objectif, je ne sais pas si on arrivera à le tenir jusqu'au bout, c'est de laisser autant que possible les écoles ouvertes."
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Gabriel Attal interpellé par Cyrielle Chatelain (EELV): "Allez-vous continuer à faire passer des lois qui reprennent le programme de Jean-Marine Le Pen?"
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Gabriel Attal : "On est dans une quatrième vague, beaucoup plus raide que les précédentes"
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Gabriel Attal : "Il y a des signaux qui permettent d'être optimistes. Les foyers de contamination en Ehpad ont baissé. Et le taux d'incidence sur les plus de 80 ans est inférieur à la moyenne nationale."
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Gabriel Attal : "Le virus circule partout. Il y a des territoires où le taux d'incidence est beaucoup moins élevé que dans les fameux 20 départements dont on parle. Mais la dynamique y est plus élevée : à ce stade, il n'y a pas d'allègement prévu."
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Gabriel Attal : "Il est arrivé, depuis le début de cette épidémie, qu'on ait à prendre très vite des mesures locales depuis Paris. On nous l'a reproché. Quand on prend des mesures localisées, c'est important de les prendre en lien avec les élus locaux."
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Gabriel Attal : "Le confinement, les mesures de restriction, on ne peut pas considérer qu'elles n'ont pas d'impact. Quand on les prend, il faut les prendre au bon moment."
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Gabriel Attal : "On fait confiance à ce que nous disent le Conseil scientifique et la haute autorité de Santé. La Grande-Bretagne par exemple a vacciné dans le cadre de vagues très importantes de l'épidémie."
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Gabriel Attal : "J'entends les inquiétudes, les craintes des Français, et même la lassitude. J'essaie d'être optimiste, on a une lumière au bout du tunnel avec la vaccination et les traitements."
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Gabriel Attal : "Les tests salivaires sont un vrai progrès dans la lutte contre l'épidémie. Aujourd'hui, on est à quelques dizaines de milliers. On espère à la mi-mars atteindre l'objectif de plusieurs centaines de milliers de tests."
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Gabriel Attal : "Les 20 départements en "vigilance renforcée" connaissent une dynamique du virus plus importante qu'ailleurs (...). Si la situation continue sur cette dynamique, il faudra prendre des mesures pour freiner la circulation du virus"
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