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Florence Parly : "Daesh n'est pas vaincu"

par franceinter

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Florence Parly, ministre des Armées, est l’invitée de « Questions Politiques ». Une émission présentée par Ali Baddou avec Carine Bécard (France Inter), Françoise Fressoz (Le Monde) et Nathalie Saint-Cricq (France Télévisions).

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Florence Parly : "Nous nous sommes fixés comme objectif de désorganiser profondément les groupes djihadistes et terroristes qui sévissent dans la région."
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Florence Parly : "Chaque fois que c'est possible, il faut privilégier, lorsqu'il s'agit de systèmes critiques, des solutions souveraines."
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Florence Parly : "Si nous sommes présents, c'est toujours à la demande des États. Nous nous adressons aux autorités publiques et politiques en place. Au Mali, la France a pesé pour que la transition vers un système civil soit mise en place."
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Florence Parly : "La force Barkhane est accompagnée par des moyens européens importants. Nous bénéficions d'un appui de la part des États-Unis (...). Et nous avons créé des forces spéciales qui aident les armées maliennes. La France n'est pas seule."
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Florence Parly : "Ce n'est pas parce que le Royaume-Uni quitte l'Union européenne que les enjeux de sécurité changent. C'est à cela, maintenant, qu'il convient de répondre."
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Florence Parly : "Les militaires français au Mali sont engagés parce que nous sommes dans un combat contre le terrorisme. Au Mali, la moitié des victimes des engins explosifs sont des victimes civiles."
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Florence Parly : "Les drones sont utilisés de façon discriminée, ils n'ont pas vocation à tuer indifféremment des civils et des combattants. Ils opèrent exactement comme un pilote de chasse."
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Florence Parly : "L'armée contribue à la campagne de vaccination, conformément à ce qu'on lui demande (...). Nous avons inséré des officiers qui s'occupent notamment de la logistique des vaccins."
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Florence Parly : "La France est toujours engagée, et considère que Daech est toujours présent. On peut même parler, je crois, d'une forme de résurgence de Daech en Syrie et en Irak."
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Florence Parly : "La dette, c'est la contrepartie des aides massives que nous avons injectées dans l'économie pour que les entreprises tiennent, pour que les emplois ne disparaissent pas. Nous n'avions pas le choix."
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9 novembre 2024 - lequipe

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