L’organisation séparatiste basque ETA s’engage à mettre “hors d’usage opérationnel” son armement et à offrir ainsi un climat de “sécurité” au Pays Basque. Elle l’a annoncé samedi par un communiqué, deux ans et demi donc après avoir renoncé à la violence dans sa lutte pour l’indépendance du Pays Basque et de la Navarre.
Aujourd’hui, ETA ne compterait plus qu’une trentaine
de militants clandestins.
Le processus de paix sera “difficile”, ajoute toutefois ETA. Un avertissement à l’attention du gouvernement espagnol, qui refuse en particulier le rapatriement au Pays Basque des centaines de militants détenus dans des prisons du reste du pays.
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