Sur BFMTV et RMC ce lundi matin, Esther Senot, ancienne détenue d'Auschwitz, s'est confiée à Jean-Jacques Bourdin. Elle raconte la difficulté de raconter les horreurs vécues à la Libération : "nous n'avons eu droit à la parole que 25 ou 30 ans après" affirme Esther Senot. Les Français "s'amusaient, voulaient revivre", l'ambiance ne s'y prêtait pas. Le sujet était tabou, en particulier parce que la France avait besoin de toute la population pour se reconstruire, y compris "ceux qui ont collaboré pendant la guerre", explique Esther Senot.
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